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Café noir ou thé anglais,

dans le froid et désespéré, je ne sais plus qui je suis.

Café au lait ou thé anglais,

dans la nuit, moi, je m'ennui, je resterais celle que je suis.

Histoire adorable ou invivable,

j'apprends et prend mon temps, je ne sais plus qui je suis.

Histoire semblable ou irritable,

je comprends et rends à temps, je resterais celle que je suis.

Café noire ou thé au lait,

ce matin, au reveille, tu m'attendais, pour encore m'aimer.

Chocolat chaud et croisants,

ce matin, aprés un baiser, tu m'annonçais que tu m'aimais.

Histoire étrange où je me mélange,

je t'écoute, m'enroule... je ne sais plus qui je suis.

Hitoire d'amour, pour toujours,

mais moi je ne suis pas un ange, je m'arrange...

Café noir ou thé au lait,

tu m'attendais, tu es restais pour m'aimais à tout jamais.

Chocolat chaut et croisants,

premier baiser échangé, je ne sais comment t'aimais.

Histoire de réapprendre, je te fais attendre.

Histoire de savoir, je te fais croire.
Je ne sais que je suis, quand je suis avec toi.

Je resterais celle que je suis, blottie dans tes bras. 

Etrange sentiment quand on ment. On aime, on se hait pourtant.
Souvent on se cache entre nos faux semblant, pour être blanc.
Simplement l'ange n'est pas, il s'efface maladroitement, méchant.

Etrange confussion quand on ment, on aime cette fiction.

Mission de ratrapage, le courage ou la rage est notre prison.

Suspicion, cupidon n'est pas, il gagne la diffusion, une contagion.

Je suis sur mon nuage, vois des mirages comme des images.

Je suis dans mon univers, comme la terre mais à l'envers.
Je suis... non !... Je ne suis pas. Je rexiste au vide.

 Je suis sur mon lit, j'écoute tout les bruits de la nuit.

Je suis un être étrange, je m'arrange et je dérange.

Je suis... non !... Je ne suis pas. J'évite encore le vide.

Etrange sentiment quand on ment. On aime, on se hais tant.
Parfois on se rate, on se manque de peu, pour se regarde peu.

Simplement l'ange n'est pas, il s'efface maladroitement, méchant.

Etrange effusion quand on ment, on hais cette vocation.

En fonction de l'âge ou pas, nous on est pas trés sage.

Suspicion, cupidon n'est pas, il gagne la diffusion, une contagion.

Je suis... non !...
Je ne suis pas. J'invente dans le vide.

Je suis... non!... Je m'ennui de la vie.

Je m'exil, intime victime, je sombre dans l'ombre d'une abysse.

Je m'exil, souvenir martyr, je tombe dans ma tombre, l'oublie.
 

Je suis, je reste, je prends garde. Je suis. Je rêve. Je comprends l'orage.

Je me perds, j'espère. Je suis volage entre courage et rage.

Mon âme se consumme comme une cigarrette fumé en cachette.

Mon coeur, je le regrette, mais mon corps, je le rejette.

Je suis. Je suis si vide. J'avance, m'élance et me mélange.

Je suis. Je suis tout sauf ça, sauf un étrange ange.

Je voulais seulement te dire que je te quitte.

Je sais que je vais trop, un peu trop vitte.

Je le sais mais je le fais c'est ainsi, pire.

Je le sais comme cela peut être implicite, pire.

 Je voulais seulement te le dire, je m'en vais.

Je comprends si tu le prends pas aussi bien.

Je comprends si tu casse tout, c'est aussi bien.

Mais moi je m'en fou, m'en fou de toi.

Et moi, je m'en fou de tout, surtout de toi.

Simplement, moi, je mens souvent.

J'invente en monde à moi, où toi et moi.

Où l'on s'aime enfin, mais cela dure pas.

Simplement, moi, je mens souvent.

J'attends que dure le temps, où toi et moi.

Où l'on vit, où l'on s'enfuit pour ne plus s'aimer.

Je voulais seulement te dire que je ne t'aime pas.

Tu n'es pas celui que je voulais, tu n'es pas à moi.

Je sais ça fait mal d'être un simple mec banal.

Je le sais ça fait mal, mais c'est normal....

Je voulais seulement te dire à jamais, je m'en vais.
Tu n'es que toi et j'aime pas ce que je vois, trop tard.

La nuit arrive je pars sans rien dire.

Seul dans le lit, il n'y a plus de bruit.

Je voulais seulement jouer à oser et te l'avouer.

Je voulais, je croyais, je voulais un peu de toi.

Je voulais sans le vouloir, y croire entre l'histoire.

Je voulais mais seulement je m'en vais.

Simplement votre, je pars dans l'abandon.

Simplement votre, moi, moi je mens.

Simplement entre nous, je choisis moi.

Simplement, moi, moi je mens souvent.

Dans un moment étrange, j'étais un ange.

Mais en vrai, je mens et m'entire simplement.

Je voulais seulement te faire croire...
Mais moi, je mens simplement.

Simplement, moi, je mens souvent.

J'invente en monde à moi, où toi t'aime moi.

Où l'on se hait, mais ça ne dure pas.

Simplement, moi, je mens souvent.

J'attends que dure le temps, où toi t'aime moi.

Où l'on vit, l'on s'enfuit pour ne plus s'aimer.